Les députés ont décidé de rallonger le temps d’examen de la loi, une semaine ayant été nécessaire pour venir à bout des dispositions sur les soins d’accompagnements, les soins palliatifs et le droit des malades. Ils attaquent tout juste la partie la plus sensible du texte, consacrée à l’ouverture d’un droit à l’aide à mourir.
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