Le groupe énergétique français savait, dès 2021, que les soldats chargés de protéger son site gazier au Mozambique étaient accusés de violenter, d’enlever et de tuer des civils, selon des documents internes consultés par « Le Monde ». L’entreprise pétrolière a pourtant continué, pendant plusieurs années, à leur verser une indemnité.
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