Après les États-Unis, c’est l’Union européenne qui hausse le ton contre le président rwandais, accusé de soutenir le groupe armé M23 dans l’est de la République démocratique du Congo. Ces menaces associées à des sanctions sont “un virage important”, analyse le site d’information guinéen “Le Djely”, mais pour résoudre la crise, le dialogue est primordial.
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