La France a été pionnière dans la réglementation de la recherche biomédicale et aussi dans la protection des droits des mineurs qui y participent. Mais il n’est désormais plus obligatoire qu’un pédiatre siège au sein des comités d’éthique et cette protection s’en trouve directement menacée, s’alarment, dans une tribune au « Monde », un collectif de médecins, de pédiatres et d’associations de parents.
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