Malgré la suspension du permis de travail des 150 000 Palestiniens employés en Israël depuis les attaques du 7 octobre, des milliers d’entre eux continuent de travailler de manière illégale. Ils confient leurs conditions de vie précaires et leur peur constante d’être arrêtés à “Shomrim”, un organisme d’information indépendant israélien.
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