Début mars, plus de 1 400 civils alaouites ont été tués en Syrie. Des massacres qui illustrent la difficulté de faire rentrer dans le rang les franges islamistes les plus radicales parmi les groupes rebelles qui ont renversé la dictature. C’est ce qu’explique l’article sélectionné cette semaine par Benjamin Daubeuf, professeur agrégé d’histoire-géographie, pour les élèves de première et de terminale spécialité histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques (HGGSP).
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