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Les derniers jours de Roger Federer, de Geoff Dyer: éloge de la finitude


LA CHRONIQUE D’ÉRIC NEUHOFF – Le journaliste du New Yorker possède un sens rare de la digression flâneuse. Federer revient en boucle. Il l’appelle Roger, le porte au pinacle. C’est un festival de culture et de drôlerie.




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