Un avocat de l’ex-président avance qu’il «n’y a aucun fondement légal pour continuer à se précipiter» vers la date de la sentence le 18 septembre, sauf à «poursuivre des objectifs qui sont proprement de l’ingérence politique».
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Un avocat de l’ex-président avance qu’il «n’y a aucun fondement légal pour continuer à se précipiter» vers la date de la sentence le 18 septembre, sauf à «poursuivre des objectifs qui sont proprement de l’ingérence politique».
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