CONTRE-POINT – S’il n’entend pas froisser le chef de l’État pour la nomination du prochain ministre des Affaires étrangères, le premier ministre compte, comme pour les autres portefeuilles, être maître de ce choix.
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CONTRE-POINT – S’il n’entend pas froisser le chef de l’État pour la nomination du prochain ministre des Affaires étrangères, le premier ministre compte, comme pour les autres portefeuilles, être maître de ce choix.