* . * . * .

Le Paradis des fous, de Richard Ford: le crépuscule de Frank Bascombe


LA CHRONIQUE D’ÉRIC NEUHOFF – Un brin paresseux, ce portrait d’une Amérique à la dérive tient grâce à sa nostalgie et son absence de cynisme.




Source
Exit mobile version

.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . %%%. . . * . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ $ - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - . . . . .