TRIBUNE – Dimanche, Bruno Retailleau a déclaré que l’«État de droit» n’était «ni intangible, ni sacré», avant de revenir sur ses propos. Il a pourtant raison de dire qu’il faut sortir d’une conception étriquée de l’État de droit, estime l’ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel.
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