En rencontrant le chef d’État sous mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (une agence onusienne), le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, apporte une légitimation inespérée au régime russe.
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En rencontrant le chef d’État sous mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (une agence onusienne), le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, apporte une légitimation inespérée au régime russe.