Il ne faut pas être Prix Nobel d’économie pour comprendre la situation : les créanciers internationaux appliquent une prime de risque à l’incertitude et à l’irresponsabilité, qu’ils ont en horreur. Nous leur offrons, hélas, les deux.
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Il ne faut pas être Prix Nobel d’économie pour comprendre la situation : les créanciers internationaux appliquent une prime de risque à l’incertitude et à l’irresponsabilité, qu’ils ont en horreur. Nous leur offrons, hélas, les deux.
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