En évoquant la nécessité de «traiter la question migratoire» à Mayotte, quatre jours après le passage du cyclone Chido, le ministre de l’Intérieur s’est attiré les foudres de la gauche.
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En évoquant la nécessité de «traiter la question migratoire» à Mayotte, quatre jours après le passage du cyclone Chido, le ministre de l’Intérieur s’est attiré les foudres de la gauche.