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Guillaume Tabard : «Une parole présidentielle qui doit d’abord redevenir audible»


CONTRE-POINT – Le mea culpa d’Emmanuel Macron sur la dissolution n’ouvre en soi aucune piste pour reconstruire un cadre politique détruit par ce raté pourtant des plus prévisibles, mais il était un préalable nécessaire pour que toute parole ou toute décision présidentielle soit au minimum entendue.




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