Financé à 96% par des fonds privés, il a été érigé en deux ans dans cette ville aux racines transalpines, où travailla le dernier poilu Lazare Ponticelli et qui fut au cœur du roman de François Cavanna, «Les Ritals».
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Financé à 96% par des fonds privés, il a été érigé en deux ans dans cette ville aux racines transalpines, où travailla le dernier poilu Lazare Ponticelli et qui fut au cœur du roman de François Cavanna, «Les Ritals».
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