L’humoriste de France Inter s’est vu signifier la rupture anticipée de son contrat de travail pour « faute grave » : sa « déloyauté répétée » à l’égard de l’entreprise, a expliqué Sibyle Veil dans un courrier aux salariés de Radio France.
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L’humoriste de France Inter s’est vu signifier la rupture anticipée de son contrat de travail pour « faute grave » : sa « déloyauté répétée » à l’égard de l’entreprise, a expliqué Sibyle Veil dans un courrier aux salariés de Radio France.
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