Un collectif de 1573 personnes, composé pour moitié des personnels de l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer, de chercheurs de tous horizons ou de personnalité comme la paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte, appelle, dans une tribune au « Monde », à soutenir l’Ifremer. Après quarante ans d’existence, l’institut souffre aujourd’hui d’un manque criant de moyens, à la fois financiers et humains.
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