Dans une tribune au « Monde », l’écrivain Charles Dantzig explique pourquoi il a entrevu cet été la possibilité d’un changement d’humeur collective, la fin de cette amertume tour à tour hargneuse et morose avec laquelle l’Occident se débat selon lui depuis le 11 Septembre. Le monde va mal, reconnaît l’auteur, mais « il va rarement très bien ».
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