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« Ce n’est pas la dette française qui pèsera sur les épaules de nos enfants mais la mauvaise gestion de la dépense publique »


Loin des propos anxiogènes sur un endettement insoutenable pour les nouvelles générations, l’économiste Anton Brender explique, dans une tribune au « Monde », que ce sont les oscillations entre « relance » et « austérité » qui se sont révélées coûteuses.




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