Depuis plusieurs mois, Téhéran assiste quasiment sans réagir à l’affaiblissement de son protégé libanais. Après la mort d’Hassan Nasrallah, Téhéran a mis en garde contre un risque de guerre régionale, sans toutefois évoquer de riposte.
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Depuis plusieurs mois, Téhéran assiste quasiment sans réagir à l’affaiblissement de son protégé libanais. Après la mort d’Hassan Nasrallah, Téhéran a mis en garde contre un risque de guerre régionale, sans toutefois évoquer de riposte.
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