Dans un championnat à deux vitesses dominé par Metz et Brest, les acteurs de la D1 féminine peinent à trouver un modèle de développement viable, et sont fragilisés par la perspective d’une baisse des subventions publiques.
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Dans un championnat à deux vitesses dominé par Metz et Brest, les acteurs de la D1 féminine peinent à trouver un modèle de développement viable, et sont fragilisés par la perspective d’une baisse des subventions publiques.