Comme le président élu américain, il aime à se poser en victime des élites et des médias traditionnels, appelle à baisser les impôts, verse volontiers dans l’injure… S’il s’en démarque sur l’immigration, le chef du Parti conservateur canadien est lui aussi aux portes du pouvoir, en bonne place pour succéder au premier ministre libéral, Justin Trudeau, lors des élections générales de 2025.
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