Après la réunion avec les partis politiques, mardi, « personne à ce stade n’a jeté d’oukase sur le sujet de la non-censure » du futur exécutif, ce qui « ouvre les possibilités », selon l’Elysée. Quant à la non-dissolution, il s’agit d’une « volonté du chef de l’Etat, et non pas [d’]un engagement », précise l’entourage du président, auprès du « Monde ».
Source