En décembre 2024, les organisations internationales n’ont pu faire entrer dans l’enclave que 70 camions de marchandises par jour, contre 500 quotidiennement avant la guerre. Cette situation, à l’origine de la famine qui sévit dans ce territoire, résulte des entraves bureaucratiques et sécuritaires imposées par Israël et de son inaction face aux gangs de pillards, accusent les Nations unies et des ONG.
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