Cette invitation, à laquelle le souverain marocain n’a pas encore répondu, intervient alors que les principaux syndicats d’agriculteurs français dénoncent la « concurrence déloyale » des tomates marocaines.
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Cette invitation, à laquelle le souverain marocain n’a pas encore répondu, intervient alors que les principaux syndicats d’agriculteurs français dénoncent la « concurrence déloyale » des tomates marocaines.