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Donald Trump candidat en 2028 ? Le président élu laisse planer le doute


Donald Trump a évoqué, ce mercredi 13 novembre, l’hypothèse de se représenter à la Maison-Blanche, ce qui est interdit par la Constitution américaine, lors d’un discours devant des républicains à Washington.

“Je pense que je ne me représenterai pas, à moins que vous ne vous disiez ‘il est bon, nous devons envisager autre chose'”, a déclaré le président élu devant une foule qui a rigolé. Donald Trump avait exclu pendant sa campagne de se représenter en 2028 en cas de défaite le 5 novembre.

Selon l’article 1 du 22e amendement de la Constitution américaine, adopté en mars 1947, “nul ne pourra être élu à la présidence plus de deux fois”.

Trump, reçu par Biden, évoque une transition “fluide”

Le président élu, qui a déclaré ce mercredi que la transition avec Joe Biden serait “la plus fluide qui soit” au début d’une réunion à la Maison-Blanche avec le président sortant, a serré la main de son ennemi juré dans le Bureau ovale. “La politique c’est dur, et souvent ce n’est pas un monde très agréable. Mais c’est un monde agréable aujourd’hui et je suis reconnaissant”, a dit le 45ème et bientôt 47e président américain.

Les deux hommes, assis auprès d’un feu de cheminée, ont fait de très courtes déclarations avant d’entamer leur réunion, à laquelle ont assisté leurs chefs de cabinet respectifs (Jeff Zients pour Joe Biden, Susie Wiles pour Donald Trump). “Nous ferons tout ce qui est possible pour être sûrs que vous ayez tout ce dont vous avez besoin”, a dit Joe Biden, qui ces dernières années a très souvent qualifié Donald Trump de danger pour la démocratie américaine.

Le locataire de la Maison-Blanche s’était engagé la semaine dernière, après la victoire éclatante de Donald Trump à la présidentielle, à assurer un transfert de pouvoir “pacifique et ordonné” avec celui qu’il a qualifié à de nombreuses reprises de danger pour la démocratie américaine.

La visite est humiliante pour le démocrate octogénaire, qui sait qu’une bonne partie de son bilan pourrait être réduite à néant par l’équipe que son rival est en train de façonner, à coup de nominations plus radicales les unes que les autres. Parmi les dernières annoncées par le président élu : l’homme le plus riche de la planète, Elon Musk, à la tête d’une nouvelle “Commission à l’efficacité gouvernementale”, conjointement avec l’homme d’affaires républicain Vivek Ramaswamy. Ce dernier a d’ores et déjà promis sur X que le duo ne “ferait pas dans la dentelle”.





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