Au terme d’une campagne insipide et dans un climat répressif, le chef de l’Etat sortant a été réélu pour un second mandat de cinq ans. Comme en 2019, le scrutin a peu mobilisé les électeurs : moins d’un sur deux est allé voter.
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Au terme d’une campagne insipide et dans un climat répressif, le chef de l’Etat sortant a été réélu pour un second mandat de cinq ans. Comme en 2019, le scrutin a peu mobilisé les électeurs : moins d’un sur deux est allé voter.