Alors que la république islamique avait supporté Bachar al-Assad pendant la guerre civile en 2011, elle n’a pratiquement rien fait pour contrecarrer l’offensive récente de renversement de son pouvoir. Ce lundi 23 décembre Téhéran réaffirme son soutien aux nouveaux dirigeants de Damas tout en assurant ne pas avoir de «contact direct» avec eux.
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