Après la Nouvelle-Aquitaine, une deuxième collectivité régionale autorise, depuis janvier, ses agentes qui souffrent de menstruations douloureuses à s’absenter de leur travail, sans retrait de salaire, maximum treize jours par an.
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Après la Nouvelle-Aquitaine, une deuxième collectivité régionale autorise, depuis janvier, ses agentes qui souffrent de menstruations douloureuses à s’absenter de leur travail, sans retrait de salaire, maximum treize jours par an.