Le président vénézuélien a évoqué le risque de « bain de sang » s’il perd le scrutin, dont il estime que le résultat est une question de « paix ou de guerre ». Son homologue brésilien, qui l’a longtemps défendu, l’invite à « apprendre que quand on gagne, on reste » et que « quand on perd, on s’en va ».
Source