Dire que le principe de l’Etat de droit n’est ni « intangible » ni « sacré », c’est ouvrir grand la porte à l’arbitraire dans l’exercice du pouvoir, soutient le professeur de science politique, en réponse aux propos de Bruno Retailleau.
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Dire que le principe de l’Etat de droit n’est ni « intangible » ni « sacré », c’est ouvrir grand la porte à l’arbitraire dans l’exercice du pouvoir, soutient le professeur de science politique, en réponse aux propos de Bruno Retailleau.
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