Le 9 septembre, la vidéo d’une enfant de 3 ans frappée par sa maîtresse lors de son deuxième jour d’école dans une maternelle parisienne a fait le tour des réseaux sociaux, cumulant plus de 9 millions de vues et obligeant l’Education nationale à réagir. S’il n’y avait pas eu d’images, la machine disciplinaire se serait-elle mise en branle ? Enquête.
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