Il y a un an, nous avions proposé à des jeunes Israéliens et Palestiniens de tenir la plume. Quatre jeunes femmes prisonnières du conflit nous avaient livré dans un texte leur regard sur la guerre. Un an plus tard, deux d’entre elles ont accepté d’écrire à nouveau pour « le Nouvel Obs ». Ces derniers mois, leur santé mentale s’est considérablement dégradée, à l’image de toute une génération qui portera à vie les marques de cette guerre.
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