Les principaux traitements anti-rhume étaient toujours en vente libre, bien qu’ils soient largement considérés comme dangereux depuis des années. Les autorités françaises, qui disaient avoir les mains liées par la réglementation européenne, ont fini par trancher en estimant que le risque, même faible, était inacceptable au vu du caractère bénin de la maladie traitée.
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