Au dernier soir de juillet 1914, l’assassinat du député SFIO ouvre le temps des apocalypses. Le pacifisme s’estompe, les appels à la grève se taisent, la gauche se rallie aux étendards nationalistes.
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Au dernier soir de juillet 1914, l’assassinat du député SFIO ouvre le temps des apocalypses. Le pacifisme s’estompe, les appels à la grève se taisent, la gauche se rallie aux étendards nationalistes.