Les avocats de Brahim Chnina réclament « un verdict d’apaisement » qui « ne passe que par le droit ». Ceux d’Abdelhakim Séfrioui dénoncent « un dossier politique ». La défense estime que l’infraction d’association de malfaiteur criminelle ne peut en l’état s’appliquer aux accusés.
Source