Engagée depuis 2015 aux côtés du dictateur déchu Bachar al-Assad, la Russie tente de préserver sa présence militaire dans le pays. En particulier, les bases de Tartous et Hmeimin, sur la côte méditerranéenne, qui jusqu’à présent « servaient de hub vers le Proche-Orient et l’Afrique » aux forces du Kremlin, explique Guillaume Ancel, analyste militaire et ancien officier français.
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