Chacun des accusés avait « la possibilité de s’interrompre dans son action à tout moment et à la vue d’une femme inerte et inconsciente », estime la cour criminelle du Vaucluse. Celle-ci a détaillé les motivations de son jugement, deux jours après la condamnation des agresseurs de Gisèle Pelicot, tous reconnus coupables.
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