Dix ans après l’attentat de « Charlie Hebdo » et la vague d’attaques qui a suivi, la prudence face au risque d’amalgame entre terrorisme, islamisme et islam s’est étiolée. En particulier depuis 2020 et la loi sur le « séparatisme islamiste », déplore Haoues Seniguer, maître de conférences en science politique à Sciences-Po Lyon.
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