Le tourbillon de menaces, de déclarations brutales et de décisions unilatérales qui marque son retour à la Maison-Blanche confirme que le 47ᵉ président des Etats-Unis n’est pas un adepte du concept d’« influence douce ». Mais miser sur la seule coercition, tant militaire qu’économique, pour s’imposer au monde, n’est-ce pas se tirer une balle dans le pied ?
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