Le ministre des Affaires étrangères assure que ces mesures sont « réversibles » mais qu’il est également prêt à en prendre « davantage » si la coopération franco-algérienne « n’est pas reprise », sur fond d’incarcération de l’écrivain Boualem Sansal et de refus d’Alger d’accueillir certains ressortissants expulsés par la France.
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