Après avoir démontré, dans son précédent ouvrage, que le talent n’était qu’une construction sociale, la neuroscientifique s’attaque aujourd’hui à l’empathie. Et prouve, avec brio, qu’il ne faut ni s’y fier ni la surévaluer.
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Après avoir démontré, dans son précédent ouvrage, que le talent n’était qu’une construction sociale, la neuroscientifique s’attaque aujourd’hui à l’empathie. Et prouve, avec brio, qu’il ne faut ni s’y fier ni la surévaluer.