Avec «Babygirl», en salles depuis le 15 janvier, la réalisatrice néerlandaise Halina Reijn décide de se réapproprier un genre historiquement très masculin. Et livre une vision bien à elle de la sensualité et des enjeux de pouvoir.
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Avec «Babygirl», en salles depuis le 15 janvier, la réalisatrice néerlandaise Halina Reijn décide de se réapproprier un genre historiquement très masculin. Et livre une vision bien à elle de la sensualité et des enjeux de pouvoir.
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