Questionné sur les raisons qui l’ont amené à accepter une hospitalisation au lieu de faire confiance à la volonté divine, le Souverain Pontife préfère parler de “petit filet de sécurité, au cas où le Seigneur serait trop occupé par les malheurs à travers le monde pour se charger de mon modeste cas”. Assez mystérieux sur ses occupations au cours des 2000 dernières années,…
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